Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Franciste. Cet hebdomadaire diffuse les idées du parti franciste, ligue fasciste inspirée du régime de Mussolini.
Paris, Bibliothèque Nationale de France, 58 rue de Richelieu
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Paris-Soir. Ce quotidien, fondé en 1923, reparaît sous contrôle allemand qui impose un directeur de publication. Replié en zone sud, son directeur Jean Prouvost continue de faire paraître des éditions différentes de l'édition parisienne.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Nouveaux temps, un quotidien créé en 1940 par le journaliste Jean Luchaire. Celui-ci sera condamné à mort en 1946 pour fait de collaboration.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Paris-Midi. Quotidien culturel fondé en 1911, il est dirigé par des équipes proches de la collaboration sous l'Occupation.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Comoedia. Créé en 1907, ce quotidien culturel disparaît en 1937 avant d'être relancé en 1941. Plusieurs auteurs illustres y participent. Jean-Paul Sartre y écrit une chronique littéraire avant de s'apercevoir l'Institut allemand en contrôle la publication.