Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique Paris-Soir. Ce quotidien, fondé en 1923, reparaît sous contrôle allemand qui impose un directeur de publication. Replié en zone sud, son directeur Jean Prouvost continue de faire paraître des éditions différentes de l'édition parisienne.
Paris, Bibliothèque Nationale de France, 58 rue de Richelieu
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique intitulé La Liberté. A nouveau dirigé par Jacques Doriot, ce quotidien exprime une orientation collaborationniste.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique intitulé La France Socialiste. Selon Claude Lévy et Henri Michel, cet hebdomadaire est "favorable à un socialisme qui reposerait sur la "communauté nationale", laïque et pacifiste, antivychiste aussi". Toutefois, des idées antisémites y sont défendues et des liens avec la propagande allemande sont marqués.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique intitulé Ensemble.
Le musée de la BN dispose d'un fonds de 24 tampons de presse éditée pendant la Seconde Guerre Mondiale. A l'étude, il apparaît que ces derniers, peu utilisés, concernent en majorité des revues collaborationnistes. Ici, tampon destiné au périodique intitulé Parisien. Fondé en 1876, ce quotidien s'arrête le 11 juin 1940 et reparaît le 8 octobre 1940, passant alors sous le contrôle des autorités d'occupation. Jacques Roujon, collaborationniste, en devient son directeur.