Les registres vont de 1685, pour le plus ancien, à la seconde moitié du XIXe siècle, moment où le prêt a été interdit à la Bibliothèque. Leur étude permet de mieux connaître une partie des lecteurs fréquentant l’institution (leur origine, leur métier, ainsi que leurs habitudes de travail et leurs sujets de recherche).
Ce travail s’intègre dans un projet plus vaste d’étude de la période 1875-1922. Il passe par un dépouillement et une étude précise des registres d’accréditation des lecteurs. La recherche s’est concentrée sur la période 1913-1919 (un an avant et après le premier conflit mondial, pour établir des comparaisons).