Archevêque de Paris de 1746 à sa mort, à la fois adversaire des Jansénistes et des Philosophes, ce prélat avait constitué une vaste et célèbre bibliothèque entrée en grande partie dans les collections imprimées de la Bibliothèque depuis la Révolution. Les livres, principalement des XVIIe et XVIIIe siècles et centrés sur les questions morales et religieuses, sont reconnaissables à leur reliure aux armes ("de gueules, à la fasce d’argent, chargée de trois fleurs de lis d’azur").
Guigard, Johannis. Nouvel armorial du bibliophile…Paris, 1890, T. 1, p. 231