Hérelle, Georges (1848-1935)
Georges Hérelle est né le 27 août 1848 à Pougy-sur-Aube (Aube). Professeur de philosophie et traducteur, il occupe successivement un poste à Dijon, au collège de Vitry-le-François (1870), au Lycée d'Evreux, à celui de Cherbourg et termine sa carrière au Lycée de Bayonne. A Vitry-le-François, il mène des recherches sur la Réforme et la Ligue. Ce travail se soldera par la publication de "La Réforme et la Ligue en Champagne" (1892) puis de "Documents inédits sur le protestantisme à Vitry-le-François" (1903-1908). Durant son professorat à Cherbourg, il fait un premier voyage en Italie et apprend l'italien. A son retour, il s'abonne à un journal napolitain qui publie en feuilleton "L'Innocente" de Gabriele D'Annunzio. Il en entreprend immédiatement une traduction. Elle paraît sous le titre "L'Intrus" dans le journal "Le Temps" puis aux éditions Calmann-Lévy en 1893. Le succès est au rendez-vous. D'Annunzio donne son approbation, et de 1894 à 1924, les traductions se succèdent. Citons pour mémoire "L'enfant de volupté", "Le triomphe de la mort", "Les vierges aux rochers", "La ville morte", "Les victoires mutilées", "La fille de Jorio","Francesca da Rimini", etc. Sa traduction de "Laus vitae" (en 1924) ne sera publiée qu'en 1947 par Guy-Emile Tosi chez Calmann-Lévy. Comme traducteur de romanciers italiens, Hérelle ajoutera à sa panoplie des oeuvres d'Antonio Fogazzaro, Grazia Deledda, Guglielmo Ferrero, Matilde Serao. En plus de l'italien, Hérelle abordera la traduction de l'espagnol, avec des oeuvres de Vicente Blasco Ibáñez. A cette activité de traducteur il faut ajouter celle de spécialiste du théâtre basque, l'existence de ce théâtre lui étant révélé par la représentation du "Mystère d'Abraham". Il publie en 1908 "Canico et Beltchitine, farce... accompagnée d'une notice sur le théâtre basque" ce travail s'achève en 1928 avec la parution des "Études sur le théâtre basque...". Hérelle utilisera deux pseudonymes - L.-R. de Pogey-Castrie et Agricola Lieberfreund - pour faire paraître en 1880 "Socrate et l'éducation athénienne", puis en 1900 une traduction avec une préface et un commentaire de "Problèmes sur l'amour physique" d'Aristote. En 1930, il complète d'un choix de documents originaux et de dissertations complémentaires" Histoire de l'amour grec" de Moritz Hermann Eduard Meier. Georges Hérelle pris sa retraite de professeur de philosophie en 1903. Il meurt le 15 décembre 1935.
De son vivant, Hérelle fait don à la Bibliothèque nationale, en 1909, d'un ensemble de littérature italienne et espagnole pour "faire bénéficier notre grand établissement d'ouvrages étrangers qui manquaient à nos collections et que lui même avait reçus en hommage des auteurs". Il fait par ailleurs deux dons très importants en 1921 et 1926 à la Bibliothèque de Troyes et lègue son fonds basque à la Bibliothèque de Bayonne. L'inventaire du don à la Bibliothèque nationale est publié en 1910 dans le "Bulletin mensuel des publications étrangères" : 247 volumes de littérature italienne et espagnole en langue originale, publiés entre 1888 et 1909 (n°6280 à 6527). Il comprend des oeuvres de Gabriele d'Annunzio (3), Giuseppe Brunati (3), Antonio Beltramelli (4), Achille Torelli (4), Felipe Trigo (4), Héctor Abreu (5), Alfredo Baccelli (5), Giuseppe Lipparini (5), Giuseppe de Rossi (5), Luis Valera y Delavat (5), Giovanni Verga (5), Giovanni Diotallevi (6), Antonio De Nino (7), Alberto Cantoni (8), Pio Baroja (9), Enrico Annibale Butti (9), Giuseppe Gigli (9), Amilcare Lauria (10). A noter un dialogue grec-français de P.D. Sakellarios, publié en 1892. De nombreux volumes ont des dédicaces autographes. Ces ouvrages sont conservés par le Département Littérature et Art. Le Département de la Recherche bibliographique conserve dans ses "Dossiers biographiques" une découpure de presse annonçant la mort de Georges Hérelle (article d'André Doderet in "Les nouvelles littéraires", 21 décembre 1935). L'important fonds Hérelle de la Médiathèque de l'agglomération troyenne, est constitué de 760 volumes imprimés (tirages d'auteurs avec envois par Gabriele D'Annunzio, Grazie Deledda et Vicente Blasco Ibáñez, etc.), de 68 séries de manuscrits (manuscrits et tapuscrits de Gabriele D'Annunzio notamment), de livres sur l'histoire de la sexualité (notamment le manuscrit autographe de la traduction de "L'histoire de l'amour grec" de Meier) et d'un fonds de cartes postales (2600 pièces, nombreuses cartes postales envoyées par Gabriele D'Annunzio). L'ensemble est complété en 1973 par ses archives personnelles (correspondance familiale et un ensemble de 14 dessins).
Le Bulletin mensuel des publications étrangères répertorie en 1910, p. 455-466 environ 250 volumes provenant d’un don de l’homme de lettres Georges Hérelle (1848-1935). Il s’agit de romans italiens et espagnols de la deuxième moitié du 19e siècle, qui sont conservés par le Département Littérature et Art.
Bulletin mensuel des publications étrangères, Paris, 1910. p. 455-466 Morel-Payen (Lucien), Georges Hérelle traducteur de Gabriele d'Annunzio, Troyes, 1929 Morel-Payen (Lucien), Georges Hérelle traducteur de Gabrielle d'Annunzio et des romanciers italiens, Atti del primo congresso mondiale delle bibliotheche, tome 3, Rome,1931, p. 239-242 Ledos (Gabriel), Histoire des catalogues des livres imprimés de la Bibliothèque nationale, Paris, 1936, p. 234 Les catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris, 1943, p. 75 Bibolet (Françoise), Hérelle, écrivain et traducteur, Almanach Libération-Champagne, 1972, p. 183-185 Chaubard (Anna-Hélène), Georges Hérelle, maître auxiliaire au Lycée impérial de Dijon, Bulletin mensuel de la Société académique ... du département de l'Aube, XLIVe année, décembre 1973, p. 187-190 Chaubard (Anna-Hélène), Bibliographie des travaux de Georges Hérelle, Mémoire de la Société académique de l'Aube, tome 107, 1975, p. 287-323 Bibolet (Françoise), Bibliothèque municipale de Troyes, Revue française d'histoire du livre, 3e trimestre, 1976, p. 314 Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, Tome LXIII: Supplément (Dijon, Pau, Troyes), Paris, 1984http://ccfr.bnf.fr/rnbcd_visu (fonds Georges Hérelle de la Médiathèque de Troyes) Dicharry (Eric), Georges Hérelle et le théâtre basque, conférence pour le CNRS, 21 décembre 2007 Bibliothèque municipale de Bayonne. Fonds des arts du spectacle (textes de Georges Hérelle sur le théâtre populaire et les pastorales basques, textes de pastorales recueillies par Georges Hérelle) .
Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Impr. 51. E.-G. Ledos, Histoire des catalogues des livres imprimés de la Bibliothèque nationale, Paris : Éditions des bibliothèques nationales, 1936, p. 234
Fils d'Henri IV et frère de Louis XIII, Gaston d'Orléans (25 avril 1608-2 février 1660) est connu, en mauvaise part, pour avoir participé à tous les complots fomentés contre Richelieu, Anne d'Autriche et Mazarin. Découvert, il s'empressa à chaque fois d'abandonner ses complices. A la mort de Louis XIII, il devint lieutenant général du royaume, mais sa participation aux troubles de la Fronde lui valut l'exil à Blois dès 1652. Le duc d'Orléans était aussi un amateur d'art et un collectionneur éclairé, et avait réuni dans son palais du Luxembourg un cabinet de livres imprimés mais aussi de manuscrits, médailles, miniatures, estampes et toutes sortes de raretés. A sa mort, il légua à son neveu Louis XIV ses splendides collections. En 1667, elles furent transportées à la bibliothèque royale et figurent toujours aujourd'hui dans les fonds. Fait exception le célèbre ensemble de plantes peintes sur vélin par Nicolas Robert, transféré en 1793 de la bibliothèque au Jardin des Plantes ; connue sous le nom de Vélins du Museum, cette collection sera continuée sous Louis XIV et les deux règnes suivants. Les médailles, camées et autres pierres gravées de Gaston d'Orléans ont contribué à la formation du Cabinet des médailles, mais ont été dispersées dans les collections. Il en va de même des manuscrits, au moins 53, dont le plus remarquable est l'exemplaire original de l'Histoire des rois de France présenté par Du Tillet à Charles IX. Dix-huit atlas in-folio, conservés au Département des Cartes et Plans sous les cotes G 56 à 73, contiennent des cartes manuscrites ou gravées regroupées par aires géographiques comme s'ensuit : Europe, Septentrions, Allemagne, Pays-Bas, Angleterre, Ecosse, Irlande, France; Italie, Espagne, Grèce, Asie, Amérique et Afrique. Enfin, la Réserve des livres rares et précieux conserve, d'après son fichier provenance, près de 110 livres dont la reliure, les plus souvent en veau fauve, œuvre du relieur Le Gascon, porte le double G couronné de Gaston d'Orléans.
Balayé, Simone. La bibliothèque nationale des origines à 1800. Genève, Paris : Droz, 1988. Chabouillet, Anatole. Recherches faites sur les origines du Cabinet des Médailles et particulièrement sur le legs des collections de Gaston, duc d'Orléans au roi Louis XIV. Paris : 1874. Delisle, Léopold. Le Cabinet des Manuscrits de la Bibliothèque impériale…, t. I, Paris, 1868, p. 265-266 Dictionnaire de biographie française, tome 15, 1982 Du Bus (C.). "Gaston d'Orléans et ses collections topographiques". Bull. de la Section de géographie du CTHS, IV, 1940, p. 1-35.
GEOFFROY.
Le Bulletin mensuel des publications étrangères répertorie en 1896, p. 59-72 et 138-144 plus de 300 volumes provenant de la bibliothèque de Auguste Geoffroy (1820-1895), de l’Institut, et donnés par sa veuve. Ceux-ci, de la deuxième moitié du 19e siècle, concernent principalement la philologie scandinave, et sont actuellement répartis entre les Département Littérature et Art et le Département Philosophie, histoire, sciences de l’homme.
Le premier siècle de l’Institut de France, vol. 1, notice n° 817, p. 362-363.
Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Impr. 47
Jeune banquier, Henri Gans fut l’ami intime d’Anna de Noailles. De lui, la poétesse écrit que son « intelligence et [son] amitié furent un des tRéserve des livres raresors de [sa] vie » (Correspondance générale de Marcel Proust. 2, Lettres à la comtesse de Noailles, 1931). C’est semble-t-il chez elle qu’Henri Gans rencontra Marcel Proust dès avant 1912, date de la première correspondance conservée entre les deux hommes. Les envois autographes du romancier sur des exemplaires de Du côté de chez Swann (1914), A l’ombre des jeunes filles en fleurs et Le Côté de Guermantes (1920) témoignent de cette « amitié toujours rajeunie », qui n’allait pas sans quelques conseils financiers. Au dire de Céleste Albaret, Henri Gans fut l’une des rares relations invitées à dîner dans la chambre même de l’écrivain. Henri Gans mourut d’un accident de chasse en novembre 1923. C’est à sa mère, auprès de laquelle il vivait, que revint la gestion de ses biens. Madame Gans fit don de la bibliothèque de son fils à la Bibliothèque nationale. A l’issue d’une sélection faite dans l’hôtel du boulevard Saint-Germain par Pol Neveux, Charles de La Roncière, P.-A. Lemoisne et P.-R. Roland-Marcel, 400 ouvrages entrèrent au département des Imprimés et 47 furent remis au département des Estampes. Cotés dans les différentes lettres Clément, ces livres sont en grande partie conservés à la Réserve des livres rares ; les 64 qui ne s’y trouvent pas se répartissent entre les départements Philosophie, histoire, sciences de l’homme (32), Littérature et art (31) et Sciences et techniques (1). Cette bibliothèque à dominante philosophique, littéraire et artistique se compose pour près de la moitié d’ouvrages du XIXe siècle : éditions originales de Victor Hugo, Mérimée, Lamartine mais aussi Marcel Schwob, livres illustrés romantiques, almanachs et keepsakes en cartonnages d’éditeurs. Viennent ensuite les livres du XXe siècle qui forment le quart de ce don : éditions originales de Maurice Barrès, Francis Carco, Jean Cocteau, Claude Farrère, André Gide, Paul Valéry sans oublier les exemplaires avec envoi de Marcel Proust et Anna de Noailles, des reliures signées de Marius Michel, Canape, Mercier, Noulhac, des livres illustRéserve des livres rares édités par Vollard. Pour les siècles antérieurs, signalons cinq éditions du XVIe, des éditions elzéviriennes de Descartes, saint Augustin, Thomas More, des éditions illustrées par Saint-Aubin, Cochin, Moreau le jeune. Ce don a fait l’objet d’un catalogue imprimé et illustré rédigé par Pierre Mornand, organisé par ordre alphabétique d’auteurs avec une concordance des cotes à la fin. Les volumes portent le cachet « Don Henri Gans ».
MORNAND, Pierre, Don Henri Gans, [catalogue] rédigé et précédé d’une préface, Paris, Jules Meynal, 1927. MORNAND, Pierre, « Sur quelques livres de la bibliothèque d’Henri Gans », in Les Trésors des bibliothèques de France, t. II (fasc. V à VIII), 1927, pp 26-30.
Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Impr. 20
Ancien instituteur des enfants de France, François-Roger de Gaignières, né en 1644 dans une vieille famille lyonnaise; devint écuyer du duc de Guise et à ce titre reçut un logement dans son hôtel (situé dans l'emprise actuelle des Archives nationales), qu'il quitta en 1701 pour s'établir rue de Sèvres, en face des Incurables. II passa sa vie en studieuses recherches dans le but vraisemblablement de composer une histoire générale constituée pour moitié de documents écrits et de documents figurés. II accumulait les images de costumes, de pierres tombales, de vitraux, de tapisseries, de sceaux. d'armoiries, les portraits, les vues de villes et de monuments. Dezallier d'Argenville, dans le Mercure de France de juin 1727, lui reproche de mettre dans sa collection des morceaux très communs, "jusqu'aux almanachs". Pour réunir tous ces documents, il sillonna la France durant de longues années, assisté de Barthélémy Remy, son "valet de chambre paléographe" et de Louis Boudan, un graveur de troisième ordre dont il pensait sans doute qu'il pourrait porter sur le cuivre l'ensemble des dessins réunis en vue d'une édition. Celle-ci ne s'étant pas réalisée (en 1703, il avait émis le vœu qu'elle le fût aux frais de l'État), il compensa cet échec en ouvrant sa collection aussi largement que possible au public. En 1711, il fit à Louis XIV une donation avec réserve d'usufruit et il mourut quatre ans plus tard, en 1715. Furent remis à la garde du roi, le 24 décembre 1716, 2407 manuscrits ; 24 portefeuilles de mode, soit 2231 pièces ; 31 volumes de tombeaux, soit 3181 pièces ; 117 volumes de géographie, topographie, etc. soit 12.885 pièces, et 100 volumes de portraits gravés, soit 7752 pièces. Dès que la donation eut été faite, Clairambault, généalogiste des ordres du roi, tria la collection, pour en distraire malheureusement une partie (la collection Clairambault aboutit du reste par la suite aux Manuscrits, et avec elle nombre de dessins de Gaignières). Le 21 juillet 1717 eut lieu dans son hôtel de la place des Victoires une vente de manuscrits, d'estampes et de tableaux. Sur les mille portraits peints qu'avait réunis Gaignières, la Bibliothèque royale n'hérita que quelques pièces, dont le célèbre portrait de Jean le Bon par Girard d'Orléans, aujourd'hui en dépôt au Musée du Louvre. En 1740, la collection fut répartie entre les différents départements de la Bibliothèque royale, selon la nature des documents. A la fin du XVIIIe siècle, un vol dû à l'abbé de Gévigney, garde des titres et généalogies déposées à la Bibliothèque du roi, priva ladite bibliothèque d'un nombre considérable de dessins représentant des tombeaux et des épitaphes. Environ 3000 dessins reliés en 16 volumes in-folio passèrent la Manche. Ils devaient peu après être acquis par la Bibliothèque Bodléienne d'Oxford. Sur rapport de la Section d'archéologie du Comité des Travaux historiques (1860), un accord intervint et le peintre Jules Frappaz put aller à Oxford réaliser les calques qui remplacent aujourd'hui les originaux dans nos collections.
Les recueils de vitraux et de tombeaux sont restés groupés (séries O et P). Les vues de villes et de châteaux sont dispersés dans la série Topographie. Catalogue des recueils de Gaignières et Catalogue des cartes de géographie [manuscrits début XVIIIe siècle = Est. Ye 19a Rés. et 19b Rés. petit fol.). Marque de collection : Gaig. Lugt, Frits. Les Marques de collections de dessins et d'estampes… Amsterdam, 1921, n° 1135. Beaumont-Maillet, Laure. La France au Grand siècle : chefs-d'oeuvre de la collection Gaignières. - [Paris] : Bibliothèque nationale de France ; Arcueil : Anthèse, 1997. 103 p. Bonnin-Jestaz, Françoise. "François- Roger de Gaignières et les chefs-d'œuvre en péril au Grand Siècle". Médecine de France, 1966, n° 169, p. 17-32 Bouchot, Henri. Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières et conservés aux Départements des Estampes et des Manuscrits. Paris : Plon, 1891, 2 vol. in-8° Dictionnaire de biographie française, t. 15, 1982 Duplessis, Georges. "Roger de Gaignières et ses collections iconographiques". Gazette des Beaux-Arts, mai 1870, 12e année, 2e période t. 3, p. 468-488 Grandmaison, Charles De. Gaignières. ses correspondants et sa collection de portraits. Niort : A. Clouzot, 1892. 156 p. et pl. (Extrait de la Bibliothèque de l'École des chartes, 1890, 1891 et 1892). Beaumont-Maillet, Laure. "Les collectionneurs au Cabinet des Estampes". Nouvelles de l'estampe, 1993, n° 132, p. 9
Laure Beaumont-Maillet, « Les collectionneurs au Cabinet des Estampes », Nouvelles de l’estampe, 1993, n° 132, p. 5-27. N° 3 Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Communs 19, Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Est. 15 et Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Mss 148. - Sepet, M. . - Omont, Henri Omont, Concordances des numéros anciens et des numéros actuels des manuscrits latins de la Bibliothèque nationale, précédées d’une notice sur les anciens catalogues, Paris : E. Leroux, 1903, p. 77-78. - Werner Paravicini, Die Nationalbibliothek in Paris : ein Führer zu den Beständen aus dem Mittelalter und der frühen Neuzeit, München ; New York ; Paris [etc.] : K.G. Saur, 1981, p. 63-64