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Département des Arts du spectacle

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Paul Adrian

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Paul
Nom: 
Adrian
Origine géographique: 
France
ISNI: 
ISN:000000007293935X

Paul Henwood, dit Adrian, est né à Paris en 1919. Influencé par son père, journaliste hippique, créateur de la revue La Vie hippique, Paul Adrian s'intéresse au cirque, d'abord par la voie de l'équitation, puis il en apprécie toutes les disciplines.
Bibliothécaire de profession, cet ami du cirque en devient très vite un référent, initialement comme historiographe puis en tant qu'historien du cirque et rassemble une très importante documentation.
Créateur du journal Scènes et Pistes avec l'illusionniste Carrington, il y collabore de nombreuses années et écrit également, depuis l’âge de 15 ans, de très nombreux articles dans d'autres revues de cirque et de music-hall. Dès 1957, il entreprend de publier des ouvrages consacrés à sa passion, avec la collaboration de son épouse Paulette Geneviève Adrian.


Phot. Philippe Henwood. Repro. BnF. © Philippe Henwood (département des Arts du spectacle, 791.32 ADR cir).

Paul Adrian est l'auteur de :

  • Histoire illustrée des cirques parisiens d’hier et d’aujourd’hui, 1957
  • Sur les chemins des grands cirques voyageurs, 1959
  • Attractions sensationnelles, 1962
  • Cascadeurs et casse-cou, 1967
  • Le cirque commence à cheval, 1968
  • Ce rire qui vient du cirque (complété par le Dictionnaire des rois du rire établi par Geneviève Adrian, 1969)
  • En piste les acrobates. Tome 1 : Sauteurs, contorsionnistes, athlètes, hercules, 1973
  • Cirque parade, 1974
  • En piste les acrobates. Tome 2 : À vous les jongleurs, 1977
  • Le cirque commence à cheval, 2e édition augmentée, 1979
  • Cirque au cinéma. Cinéma au cirque, 1984
  • Ils donnent des ailes au cirque, 1988
  • Le sens de l’équilibre, 1993

et d'un disque, La voix du cirque.

Entre 1934 et 1939, il a régulièrement écrit des articles pour La Vie hippique.
Entre 1946 et 1951, il a publié quelques articles dans Radio ce soir (1946), Heures claires des femmes françaises (1947), Rêves (1947), Ève (1947), Femmes françaises et Filles de France (1947-1948), ainsi que plusieurs chroniques (« pré-écoutes ») par semaine dans Radio-Revue puis dans Radio-Liberté (1947-1951).
Entre 1948 et 1953, il a fait paraître en feuilleton Le cirque et ses numéros dans L’inter forain.
Entre 1949 et 1953, il collabore régulièrement à la Revue officielle des spectacles et de la musique (1949-1953) et écrit quelques articles dans Le petit écho de la mode (1949-1951), Historia (1952).
Entre 1951 et 2008, il collabore régulièrement à Le cirque dans l’univers. Bulletin du club du cirque ; de 1952 à 1960, à La vie des spectacles et des concerts (1952-1953), à l'Enciclopedia dello spettacolo (1952-1955) et à Music-hall. Revue internationale du spectacle (1953-1960).
De 1954 à 1987, il est rédacteur en chef puis collaborateur régulier du journal Scènes et Pistes.
Entre 1955 et 1964, il rédige quelques articles dans Cinémonde (1955), L’express (1955-1956) et collabore régulièrement à L’acteur (1963-1964).
De 1975 à 1987, il publie « Le cinéma et le cirque. Étude et filmographie » dans Cinéma (1975) et quelques articles dans Plaisirs équestres (1977) et Abricot (1987).
De 1988 à 2007, il collabore régulièrement à Fêtes – Animation – Loisirs devenu Officiel des fêtes de France, et à Organ show business.

Le fonds contient des tapuscrits, de la correspondance, des programmes, des coupures de presse, des photographies et des cartes postales, ainsi que la bibliothèque de Paul Adrian. Cet ensemble reflète l'activité de Paul Adrian comme chroniqueur et historien du cirque, ainsi que ses relations avec le milieu circassien et les passionnés de cirque.

Les ouvrages de la bibliothèque ont été intégrés dans la collection d'imprimés du département des Arts du spectacle sous la cote W, et catalogués dans le catalogue BnF Catalogue général, où on peut les retrouver en lançant la requête "Fonds Paul Adrian". Un inventaire de l'ensemble est par ailleurs consultable sous la cote 4-COL-180(174,1).

Bibliographie: 

Joëlle Garcia ; Philippe Henwood, « Le cirque commence à cheval : les archives de Paul Adrian au département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France », In Situ, 2015, n° 27. Disponible en ligne, url : <http://journals.openedition.org/insitu/11906>.

Source: 

« Fonds Adrian, Paul (cirque) », BnF Archives et manuscrits, url : <http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc58866t>.

La collection
Département: 
Département des Arts du spectacle
Type d'entrée: 
Don
Date d'entrée: 
2010
N° de référence d'entrée: 
DON-ASP-2018-07
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Collection
Auteur de la fiche: 
Olivier Jacquot
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Amos Gitaï

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Amos
Nom: 
Gitaï
Origine géographique: 
Israël
ISNI: 
ISNI 0000 0001 2138 2405

Le cinéaste Amos Gitaï donne en 2018 à la BnF l'ensemble de ses archives papier et numériques liées à son travail sur 'assassinat du premier ministre israélien Yitzhak Rabin en 1995.

DansGive peace a chance / Donnons une chance à la paix (1994), Amos Gitaï suivait les négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens au moment de la signature des accords d’Oslo. Trois semaines après l’assassinat de Rabin, Amos Gitaï revient sur les traces laissées par l’événement et tourne The Arena of murder / L’arène du meurtre. Il y revient vingt ans plus tard avec Rabin, The Last Day / Le Dernier Jour d’Yitzhak Rabin, une fiction prise dans la tourmente de l’histoire israélienne. Il prolonge cette oeuvre cinématographique par une exposition Chronicle of an assassination foretold présentée à Rome, Bruxelles et à la Collection Lambert à Avignon lors du festival de 2016. Cette exposition trouve alors un écho dans la cour d’honneur du Palais des papes avec une performance intitulée Yitzhak Rabin : Chronique d’un meurtre annoncé, qui est présentée à la Philharmonie de Paris en octobre 2018. C’est ainsi un ensemble très riche, s’étendant sur plus de vingt ans, qui est entré dans les collections de la BnF.

Le lien avec le Festival d’Avignon a par ailleurs conduit Amos Gitaï à joindre à ce don initial les archives concernant le spectacle La Guerre des fils de lumière contre les fils des ténèbres, présenté à la carrière Boulbon en 2009.

Le fonds donné à la BnF en 2018 réunit non seulement des documents sous forme papier - scénario, notes, photographies, presse - mais aussi une documentation numérique inédite. C’est sous cette forme que se constitue aujourd’hui la mémoire du cinéma à travers les correspondances électroniques, les images et les textes numériques et surtout les archives filmiques numériques. Ces dernières donnent à voir comme jamais auparavant toute la genèse d’un film depuis les matériaux documentaires de départ au montage, en passant par toutes les étapes du tournage. La possibilité d’explorer une telle archive est d’autant plus importante dans le cas d’Amos Gitaï et du projet Rabin que l’événement et ses traces sont au coeur du processus.

Le traitement de ce fonds exceptionnel a fait l’objet d’une collaboration internationale de la Bibliothèque nationale de France avec deux autres institutions de conservation et de recherche qui détiennent des archives d’Amos Gitaï : l’université de Stanford aux Etats-Unis et la Bibliothèque nationale d’Israël.

 

Source: 

« Les archives d’Amos Gitaï sur Yitzhak Rabin à la Bibliothèque nationale de France : [communiqué de presse] », Bibliothèque nationale de France, 5 avril 2018. Disponible en ligne, url : <http://www.bnf.fr/documents/cp_archives_gitai.pdf>.

La collection
Département: 
Département des Arts du spectacle
Type d'entrée: 
Don
Date d'entrée: 
2018
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Fonds
Auteur de la fiche: 
Olivier Jacquot
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Dictionnaire des fonds spéciaux et des principales collections et provenances

Ce dictionnaire (http://comitehistoire.bnf.fr/dictionnaire-fonds-sp%C3%A9ciaux-principales-collections-provenances) recense les noms, intitulés et dénominations utiles pour identifier ou connaître les fonds spéciaux, principales collections et provenances des documents conservés à la BnF. Chaque fonds, identifié par un nom propre ou une dénomination particulière (par exemple « Provinces de France »), est décrit de manière succincte ou plus approfondie.

  • Lire la suite de Dictionnaire des fonds spéciaux et des principales collections et provenances

Antoine Vitez

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Antoine
Nom: 
Vitez
Origine géographique: 
France
ISNI: 
http://isni.org/isni/000000012037039X

Acteur, metteur en scène, auteurs d’essais et de poèmes

Antoine Vitez est né à Paris en 1930. Après son baccalauréat, il s’inscrit à l’Ecole nationale des langues orientales et à l’Ecole de théâtre du Vieux-Colombier. Il commence dès lors à jouer de petits rôles au théâtre. En 1950, ayant échoué au concours d’entrée du Conservatoire national d’art dramatique, il suit les cours de Tania Balachova au Théâtre de l’Atelier. Tout en poursuivant sa carrière d’acteur, il commence à traduire des textes russes – il traduira Tolstoï, Tchekhov, Cholokhov, Maïakovski, Gorki…mais aussi des auteurs grecs, en particulier Yannis Ritsos. Il rédige également des articles pour la revue Théâtre populaire et adhère au Parti communiste (1957). Il rencontre Louis Aragon, qu’il accompagne en 1960 en URSS, pour la préparation d’un ouvrage. En 1962-1963, il est engagé au Théâtre du quotidien de Marseille. Il y organise des lectures, des conférences, écrit quelques textes et joue parfois. Mais c’est au Théâtre-Maison de la Culture de Caen qu’il réalise ses premières mises en scène : Électre, de Sophocle (1966), Les Bains, de Maïakovski (1967). En 1968, il est nommé professeur au Conservatoire national d’art dramatique de Paris. Il poursuit son travail de metteur en scène dans divers théâtres, notamment à Grenoble, mais aussi au Théâtre des Amandiers de Nanterre où il est enseignant. En 1971, il propose aux autorités municipales d’Ivry un projet s’appuyant sur le principe du « théâtre de quartier » : présenter au plus grand nombre, avec peu de moyens, des textes d’une grande qualité littéraire. Une double structure est mise en place : L’Atelier théâtral, lieu d’enseignement et le Théâtre des Quartiers, qui prend la forme d’une société coopérative de production.
Le premier cours de l’Atelier théâtral d’Ivry a lieu en janvier 1972, la première représentation en mai suivant. Il s’agit du Faust de Goethe, qui inaugure pour Antoine Vitez, une période très féconde au cours de laquelle il présente des auteurs classiques mais aussi des contemporains comme Brecht, Kaliski, Vinaver. En 1981, Antoine Vitez est nommé directeur du Théâtre national de Chaillot, où il entend proposer, après Jean Vilar, un « théâtre élitaire pour tous », exigeant, attentif au langage. Il y connaîtra de très grands succès, en particulier dans sa mise en scène du Soulier de satin, de Paul Claudel (1987). En 1988, il devient administrateur de la Comédie française. Il y met en scène Le Mariage de Figaro de Beaumarchais et La Vie de Galilée de Brecht. Il décède le 29 avril 1990.

Le Département des arts du spectacle conserve un ensemble de documents relatifs à l’activité d’Antoine Vitez au Théâtre des quartiers d’Ivry et au Théâtre national de Chaillot :
- ses écrits : articles de presse, débats, entretiens, textes concernant son enseignement du théâtre, notamment à l'Atelier d'Ivry
- des documents concernant ses mises en scène depuis 1966 : programmes, articles de presse, photographies
- des archives administratives concernant le Théâtre des Quartiers d'Ivry et le Théâtre national de Chaillot.

Ce fonds est coté 4-COL-49. Un inventaire (Inv. 30) est disponible en salle de lecture.

Bibliographie: 

Copfermann, Émile. Conversations avec Antoine Vitez. [Nouv. éd.]. Paris : POL, 1999 257 p. : ill. ;
Ubersfeld, Anne. Antoine Vitez. Paris, Nathan, 1998 127 p. (Arts du spectacle ; 192).

Vitez, Antoine. Écrits sur le théâtre. Paris, P.O.L., 1994-1998 5 volumes

Autres sources : IMEC (Institut Mémoires de l’édition contemporaine)

La collection
Département: 
Département des Arts du spectacle
Informations sur la notice
Auteur de la fiche: 
Annick Tillier
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Michel Vinaver

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Michel
Nom: 
Vinaver
Origine géographique: 
France
ISNI: 
http://isni.org/isni/0000000110596993

Michel Vinaver est né en 1927 à Paris, de parents d’origine russe. En 1944, il n’a alors que 17 ans, il s’engage comme volontaire dans l’armée française. Au lendemain de la guerre, il part suivre des études de littérature aux Etats-Unis et entame ses premières traductions.

Il commence à écrire en 1947. Son premier roman, Lataume, paraît grâce à l’appui d’Albert Camus chez Gallimard en 1950. L’année suivante, il obtient le prix Fénéon pour L’objecteur, roman inspiré par la guerre froide. Il entre en 1953 dans la société Gillette où il occupe des fonctions de cadre supérieur puis de dirigeant. Jusqu’en 1982 il va mener de front sa carrière d’écrivain et d’entrepreneur.

En 1955, Gabriel Monnet, qui anime un stage national d’art dramatique amateur, lui commande une pièce. Ce sera Les Coréens, pièce que Roger Planchon montera au Théâtre de la comédie de Lyon en 1956 et que Jean-Marie Serreau reprendra à Paris quelques mois plus tard. En 1957, il écrit Les Huissiers et en 1959 Iphigénie Hôtel. Ces deux pièces ne seront crées que bien des années plus tard.

Après une longue période de silence, Michel Vinaver publie en 1969 une de ses œuvres majeures : Par dessus bord, pièce à 60 personnages que Roger Planchon met en scène en 1973 dans une version abrégée et qui sera reprise en 1983 par Charles Jorris, dans une version intégrale.

En 1971 commence une intense période d’activité dramatique, il écrit successivement : La Demande d’emploi, créée au festival d’Avignon en 1972 ; Théâtre de chambre ; Dissident, il va sans dire ; Nina, c’est autre chose ; Les Travaux et les jours ; A la renverse (qu’il mettra lui-même en scène en 2006) ; L’Ordinaire.; Les Voisins ; Portrait d’une femme ; L’émission de télévision ; Le dernier sursaut ; l’objecteur ; 11 septembre 2001 ; King. Ces oeuvres, ont été montées par Roger Planchon, Antoine Vitez, Jacques Lassalle, Alain Françon, Jean-Pierre Vincent, Christian Schiaretti, Robert Cantarella, Claude Yersin… En 2006, pour la première fois, il met en scène lui-même une de ses propres pièces : A la renverse

Après son départ de la société Gillette, Michel Vinaver s’investit davantage dans la réflexion sur l’art dramatique. Il publie Ecrits sur le théâtre (1982), enseigne à l’institut d’études théâtrales de l’université de Paris III (1982-1996) puis de Paris VIII (1988-1991) .Á la même époque, il préside la commission Théâtre du Centre national des Lettres récemment créée et engage une réflexion sur l’état de l’édition théâtrale publiée sous le titre : Le compte-rendu d’Avignon. Des mille maux dont souffre l’édition théâtrale et des trente-sept remèdes pour l’en soulager (1987). Il dirige à partir de 1992 la collection « Répliques » chez Actes Sud, un ensemble de pièces classiques ou contemporaines accompagné d’un important appareil critique.

Le fonds Michel Vinaver, coté 4-COL-124 au Département des Arts du spectacle, issu d’un don de l’auteur en 2006, est constitué de programmes, d’affiches, de correspondances et de coupures de presse (photocopies), retrace l’œuvre littéraire et théâtrale de cet auteur.

Bibliographie: 

Michel Vinaver, n° spécial de « Europe », 924, avril 2006
Vinaver, Michel. Écrits sur le théâtre. Réunis et présentés par Michelle Henry. Paris, l'Arche, 1998. 2 vol.
Autres sources : IMEC (Institut Mémoires de l’édition contemporaine)

La collection
Département: 
Département des Arts du spectacle
Informations sur la notice
Auteur de la fiche: 
Annick Tillier
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