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Argentina

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Nom: 
Argentina
Origine géographique: 
France

Antonia Mercé, dite La Argentina (1888-1936) naquit à Buenos-Aires (d’où son nom de scène), de parents espagnols, danseurs au Teatro Real de Madrid. Après des études de danse classique espagnole, elle se produit au music-hall, inventant elle-même des chorégraphies inspirées du flamenco et d’autres danses traditionnelles. Sa carrière internationale débute vraiment en 1923 avec la rencontre d’Arnold Meckel qui devient son impresario. Pendant treize ans, La Argentina danse en récital ou avec sa compagnie « Ballets espagnols d’Argentina », et remporte un grand succès. Sa collaboration et son amitié avec de grands noms de la musique espagnole comme Manuel de Falla, Isaac Albeniz, Ernesto Halffter ou Joaquin Nin, en font un véritable symbole de l’identité et de l’avant-garde espagnole du début du siècle. Sa mort prématurée, en 1936, coincide avec la fin d’une période particulièrement riche pour l’Espagne, qui entre alors dans le franquisme. La danseuse, saluée par les journaux du monde entier comme la « Pavlova du Flamenco », reste dans les mémoires comme une des personnalités marquantes de cet âge d’or espagnol.

La Bibliothèque-Musée de l’Opéra possède un important ensemble de documents et d’objets concernant Argentina, entrés par dons successifs de la famille et de l’association des amis d’Argentina. En 1956 en effet, une très importante exposition à la mémoire d’Argentina était organisée à la Bibliothèque de l’Opéra. C’est à la suite de cette exposition que la Bibliothèque de l’Opéra reçut, de 1956 à 1960 :
- d’une part une collection d’archives concernant la carrière d’Argentina (principalement de 1927 à 1936), (1 boîte, 43 dossiers), comprenant des correspondances avec ses collaborateurs, comme Manuel de Falla, des photographies, des manuscrits d’arguments de ballets, une vingtaine d’affiches typographiques (Fonds Argentina), et environ 300 programmes (1911-1941) marqués « fonds Mercé » (conservés à part sous la cote Pro A 19, mais intercalés avec des programmes Argentina d’autre provenances).
- d’autre part une collection d’objets divers, principalement des bijoux de scènes ayant appartenu à Argentina, et un tableau représentant Argentina dans l’Amour sorcier de Manuel de Falla, conservés dans le fonds muséal.

Le fonds Argentina proprement dit fait l’objet d’un inventaire sur fiches dactylographiées, intégré au fichier matière général de la Bibliothèque-Musée de l’Opéra, consultable en salle de lecture.
Les objets font également l’objet d’un inventaire sur fiches dactylographiées, consultable sur demande auprès du responsable du fonds muséal..
Les programmes font l’objet d’un signalement global au fichier des programmes de la Bibliothèque-Musée de l’Opéra, consultable en salle de lecture.

Le département des Arts du spectacle conserve également un ensemble de documents sur cette artiste, arrivés par dons successifs, qui complètent les éléments déjà présents dans la collection Auguste Rondel. Il s’agit de costumes, souvenirs personnels et portraits de la danseuse, enregistrements sonores, photographies, programmes, affiches, coupures de presse, ouvrages et d’archives concernant l’Association des Amis d’Argentina.

Un inventaire est actuellement en cours

Bibliographie: 

Ninotchka Bennahum, Antonia Mercé « La Argentina », Wesleyan University Press, 2000.

La collection
Département: 
Bibliothèque-musée de l'Opéra
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Fonds
Auteur de la fiche: 
Pauline Girard
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Adolphe Ardail

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Adolphe
Nom: 
Ardail
Origine géographique: 
France

Ardail, Adolphe

Ardail était un imprimeur d'estampes auquel les artistes dont il tirait les œuvres faisaient don d'une épreuve, signée et généralement accompagnée d'une dédicace flatteuse. " Entre les artistes et lui s'établissait naturellement l'intimité qui lie le créateur au metteur en œuvre " (Bouchot). Il finit par vendre cette collection, se montant à 1753 épreuves, au Cabinet des Estampes pour un prix symbolique. Lorsqu'Henri Bouchot reçut ce don dissimulé, contenant des gravures de Meissonier, Bracquemont, Veyrassat, Waltner... il considéra que le Cabinet n'avait pas reçu d'enrichissement plus important depuis Marolles et Hennin, ce qui nous paraîtrait peut-être exagéré ou du moins relever du domaine de la flatterie si l'on ne connaissait le caractère sans détour de Bouchot.

Marque de collection : LF.

Bibliographie: 

Lugt, Frits. Les Marques de collections de dessins et d’estampes… Amsterdam, 1921, n° 1728
http://www.marquesdecollections.fr/detail.cfm/marque/8216/total/1
Cote : Ad 158 à Ad 172 in-fo1. ; Ad 173 à Ad 180 tr. gr. fol. ; Ad 181 -Ad 182 carta maxima.
Bibliothèque nationale. Département des Estampes. Catalogue des gravures contemporaines formant la collection Ardail par Georges Riat. Paris. G. Rapilly.1904
Dictionnaire de biographie française, t. 3, 1939
Bulletin du bibliophile, 1901, p. 205-206.

Laure Beaumont-Maillet, « Les collectionneurs au Cabinet des Estampes », Nouvelles de l’estampe, 1993, n°132.

Source: 

Laure Beaumont-Maillet, « Les collectionneurs au Cabinet des Estampes », Nouvelles de l’estampe, 1993, n° 132, p. 5-27. N° 29
Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Est. 12
M.-P. Laffitte, Archives modernes… inventaire sommaire et index, 1983, 43 p. dactyl.

La collection
Département: 
Département des Estampes et de la photographie
Date d'entrée: 
1901 ou 1904
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Collection
Auteur de la fiche: 
Laure Beaumont-Maillet
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Jean-Baptiste Bourguignon d’ Anville

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Jean-Baptiste Bourguignon d’
Nom: 
Anville
Origine géographique: 
France

Jean-Baptiste Bourguignon d’Anville est né à Paris en 1697. Dès son jeune âge, il manifesta un goût particulier pour la géographie, employant son temps à dessiner des cartes d’après les descriptions données par les auteurs anciens. Sorti du collège, il fut admis dans la société de l'abbé de Longuerue, dont les conseils augmentèrent à la fois ses aptitudes et sa curiosité, au moins en matière géographique, car il s’intéressait presque uniquement aux positions des peuples et des villes, cherchant à évaluer les mesures anciennes pour fixer les divers emplacements. Il n’avait que 22 ans et n'avait encore rien fait paraître quand il reçut le brevet de géographe du roi, titre qu’il justifia bientôt en publiant les cartes du royaume d’Aragon et celles qu’il avait établies pour la description de la France par Longuerue. En 1727, il fit paraître ses cartes de l’Afrique, puis celles destinées à l’Histoire de Saint-Domingue du P. Charlevoix et à l’Oriens christianus du P. Le Quien. Il entra alors en relations avec les jésuites, qui le choisirent pour rédiger les cartes de la Chine levées par leurs missionnaires et destinées à former l’atlas qui accompagne l’histoire du P. Du Halde.
Il étudia ensuite la figure de la terre, question qui préoccupait les savants et écrivit deux mémoires sur la mesure du globe, mais ses conjectures se révélèrent erronées. En 1743, il donna sa carte d’Italie et expliqua dans l’Analyse géographique de l'Italie (1744) la manière dont elle avait été composée ; il y réduisait de plusieurs lieues carrées l’étendue attribuée au pays, et quand Benoît XIV eut fait procéder à des mesures de triangulation, d’Anville constata que ces mesures confirmaient ce qu’il avait lui-même découvert. Toutes ses cartes étaient très appréciées, tant par les géographes que par les navigateurs. Bougainville, en traversant les Moluques, dit que la carte qui lui donna le plus de lumières fut celle de d’Anville, dont l’exactitude était remarquable pour un cartographe de cabinet. Il avait été reçu en 1754 membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres mais ne fut élu qu’en 1773 par l’Académie des sciences, à la seule place dévolue à la géographie. Dans le même temps, il avait été nommé premier géographe du roi.
Jean-Baptiste d’Anville est l'auteur de 211 cartes ou plans et de 78 ouvrages ou mémoires imprimés : méthodologie des levés pour la construction de cartes de détail ; travaux de géographie “ historique ” et sur les mesures anciennes ; géographie des grands empires anciens et contemporains (Egypte, Empire romain, Inde, Russie, Empire Ottoman). Il est également l’auteur de nombreux articles insérés dans le Recueil de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, toujours accompagnés de cartes.
En dehors des cartes dont il était l’auteur, d’Anville avait constitué une abondante collection de documents cartographiques, tant gravés que manuscrits, la plus complète et la plus précieuse, selon B.-J. Dacier, qui ait peut-être jamais existé. De son vivant, elle avait été enrichie de multiples donations faites par des savants, des collectionneurs et des voyageurs de tout pays. Il avait songé dès 1772 à céder cette collection au roi, mais ce n’est qu’en 1779 que l’affaire fut réglée. Lorsque survint la mort de d’Anville, plus riche d’honneurs que d’argent, la collection passa du Louvre où il logeait, à Versailles, où Jean-Denis Barbié du Bocage poursuivit l’inventaire qui faisait tant défaut depuis que la collection appartenait au roi et qu’il acheva en 1828. Elle passa ensuite au ministère des Affaires étrangères avant de venir, en 1924, enrichir les collections du département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France. Le récolement entrepris alors par Charles Du Bus permit de constater la perte ou le vol de certaines cartes manuscrites survenus pendant le séjour de la collection chez les diplomates, de sorte qu’elle renfermerait aujourd’hui près de 10500 cartes de toute région et de toute époque depuis les premières éditions de la Géographie de Ptolémée jusqu'aux années 1770-1780.

Bibliographie: 

Dictionnaire de biographie française. T. 3, 1939
Du Bus, Charles. "Les collections d’Anville à la Bibliothèque nationale". Bulletin de la Société de géographie, 1926, t. XLI, p. 93-145

Source: 

Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943, Ge 7

La collection
Département: 
Département des Cartes et plans
Date d'entrée: 
1924
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Collection
Auteur de la fiche: 
Jean-Yves Sarazin
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Léonce Angrand (Estampes)

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Léonce
Nom: 
Angrand (Estampes)
Origine géographique: 
France

Né en 1806, Léonce Angrand avait embrassé la carrière diplomatique et commencé comme secrétaire de Bertin de Vaux, ambassadeur à La Haye. Il fut ensuite vice-consul à Cadix, puis à Lima. En 1845. il fut consul général et chargé d’affaires en Bolivie, pour passer au Guatemala en la même qualité en 1851.

Mort à Paris le 11 mars 1886, il légua à la Bibliothèque Nationale par testament en date du 8 mai 1885 la collection de livres et de documents qu'il avait formée sur la topographie et l'histoire de l'Amérique du Sud. Sa collection de gravures, dessins, photographies, relatifs au Mexique, à Cuba, au Pérou, à la Bolivie, au Guatemala... se trouve au département des Estampes et de la photographie essentiellement sous les cotes suivantes : V d 24, Vh 240 Rés., Of 32 Rés. pet. fol. t. I et II.

Bibliographie: 
  • Bibliothèque nationale. Département des Imprimés. Inventaire des livres et documents relatifs à l'Amérique recueillis et légués à la Bibliothèque Nationale par M. Angrand. Paris. 1887
  • Collection Léonce Angrand sur l'Amérique du Sud. Catalogue dactyl. s. d. (vers 1935).
  • Laure Beaumont-Maillet, « Les collectionneurs au Cabinet des Estampes », Nouvelles de l’estampe, 1993, n°132. N° 25.
  • Les Catalogues imprimés de la Bibliothèque nationale : liste, description, contenu, Paris : Bibliothèque nationale, 1943. Com. 15
  • Coryn Greatorex-Bell ; Christopher H. Lutz, "Algunos hechos acerca de la vida de Léonce Angrand", elPeriódico, 11 février 2018. Disonible en ligne, url : <https://elperiodico.com.gt/cultura/el-acordeon/2018/02/11/algunos-hechos-acerca-de-la-vida-de-leonce-angrand/>.

 

La collection
Département: 
Département des Estampes et de la photographie
Type d'entrée: 
Legs
Date d'entrée: 
1885
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Provenance
Auteur de la fiche: 
Laure Beaumont-Maillet Olivier Jacquot (mise à jour)
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Jean-François Payen

Le possesseur
Type de possesseur: 
Personne
Prénom: 
Jean-François
Nom: 
Payen
Origine géographique: 
France

Né à Paris le 24 juin 1800, le docteur Jean-François Payen se livra à des études scientifiques sur les eaux minérales et se spécialisa dans l’étude et le traitement de la maladie de la pierre ; il constitua une collection de 4000 ouvrages sur les eaux minérales (aujourd’hui dispersée ?). Mais la passion dominante de sa vie fut Montaigne. Il lui consacra plusieurs ouvrages, toujours tirés à petit nombre d’exemplaires, et surtout réunit une importante collection de livres de et sur Montaigne, dont une trentaine d’ouvrages annotés par Montaigne ou portant sa signature. Il accumula aussi des notes pour préparer une réédition des œuvres de Montaigne, qui n’aboutit pas. Après sa mort, le 7 février 1870, la Bibliothèque nationale acquit l’ensemble de sa collection montaigniste pour 31000 F. Ses filles firent don de ses manuscrits et notes de travail.
La collection Payen fut aussitôt décrite sous forme d’un catalogue méthodique par Gabriel Richou, paru en 1878.
Malgré la clause de l’acte de cession, qui prévoyait un cabinet spécial consacré à cette collection, elle fut répartie entre les départements de la BN. Les ouvrages imprimés et les notes de Payen sont aujourd’hui conservés à la Réserve des livres rares et constituent le Z. Payen, qui comprend 1440 numéros dans l’ordre du catalogue de Richou. Les autographes et les manuscrits de Montaigne sont conservés au département des Manuscrits (N. a. fr. 1068, 1466-1474) ; les portraits de Montaigne et les pièces topographiques au département des Estampes. Les pièces de la Xe section de l’inventaire (n° 1454-1467 : portraits à l’huile, statuettes, médailles) n’ont pas été retrouvées à ce jour.

Bibliographie: 

Le Petit, Jules. Quelques mots sur le Dr J.-F. Payen, suivis d’un appendice donnant la nomenclature de ses travaux littéraires et scientifiques… Paris : G. Chamerot, 1873, XXXII p.
Richou, Gabriel. Inventaire de la collection des ouvrages et documents réunis par J.-F. Payen et J.-B. Bastide sur Michel de Montagne… Paris : Léon Techener, 1878, XVII-397 p. (tient lieu de carnet pour le Rés. Z. Payen)

Source bibliographique: 
Mérigot, Imprimés, p. 52. - Cat. impr. BN, Impr. 58
La collection
Département: 
Réserve des livres rares
Type d'entrée: 
Acquisition
Date d'entrée: 
1870
N° de référence d'entrée: 
54339
Image de l'estampille/rondage: 
Estampille de la collection Payen
Informations sur la notice
Type de fiche: 
Fonds
Auteur de la fiche: 
Geneviève Guilleminot
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